Février
en Malaisie |
16
février 2009 |
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Quelques nouvelles depuis Kuala Lumpur après avoir embarqué le camion sur sa plateforme, juste derrière celui des Verney, en partance pour Chennai. Sauf contretemps, le bateau porte-container (le "Santa Madalena", petite pensée pour ma grand-mère...) devrait appareiller demain pour arriver en Inde dimanche. De notre côté, on prendra l'avion mercredi pour commencer les longues et fastidieuses démarches consistant à récupérer notre fidèle monture si possible le lundi suivant : on a appris par de précédents voyageurs ayant effectué le même shipping qu'il fallait s'armer de patience, de force de conviction et d'une bonne poignée de roupies pour mener à bien cette mission côté indien. |
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Notre petit coin de plage sur l'ile de Penang. |
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On loge dans une sorte de grande guest-house, aux chambres rudimentaires (mais pas chères...) en plein milieu du quartier chinois, qui jouxte le "little india" de Kuala Lumpur, un bon avant-goût de ce qui nous attend, même si ce sera puissance 10 une fois sur place... |
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On a pris
le temps de se promener un peu, par la chaleur qu'il fait en ville c'est
une sacrée preuve de motivation (ou d'inconscience ?), on a pique-niqué
au milieu des singes dans le grand parc de la ville, visité la
mosquée nationale et si ça n'avait pas coûté
aussi cher on aurait aussi visité le plus grand parc d'oiseau en
liberté du monde. |
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0n embarque
le camion sur le flat-rack |
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On réalise soudain la quantité d'économie que la "vie en camion" représente puisqu'on alterne restos et nuits en guest-house depuis 2 jours, et que le porte-monnaie réduit de jour en jour. Je n'avais pas pris le temps de
raconter nos premiers jours en Malaisie, ou alors brièvement,
je vais donc revenir un peu en arrière... |
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plantations de thé dans les Cameron Highlands | |
Deuxième chose frappante : la diversité
des faciès, mélange de chinois, d'indiens, népalais,
sikh, etc... On ne trouve plus un "visage typique" mais une
multitude de couleurs, de physionomie, et de tenues différentes.
Les paysages sont aussi splendides, il semble que la culture des palmiers
couvre une large surface dans le nord du pays : des forêts entières
à perte de vue, impressionnant, verdoyant et "tropical",
on a eu l'occasion de s'enfoncer un peu dans les terres, vers les "Cameron
Highlands", où on trouve aussi des montagnes entières
recouvertes de plantations de thé (et des serres de fraises,
spécialité de la région...) et une route sinueuse
qui serpente au milieu de la jungle. |
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Kuala Lumpur, vue depuis la mosquée nationale | |
Cote perso, l'absence d'Athos continue à nous peser assez souvent, mais on réalise que ces quelques jours à Kuala Lumpur auraient été pour lui un vrai supplice (et sa quarantaine une organisation délicate pour nous...). Pour Julie, la chaleur est toujours pesante, ça l'est pour chacun de nous, mais d'autant plus pour elle qui la ressent pour deux ! Ca ne l'empêche pourtant pas de gambader en ville et de faire bonne figure ! Le camion nous manque mais on est impatient d'attaquer la "page indienne" de notre périple. | |
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