Ah ! la Mongolie... un parfum de trop peu |
23 octobre 2008 |
13 octobre 2008 |
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Le désert de Gobi vu d'avion |
On a donc fait bonne route à travers le désert de Gobi, la température y a été beaucoup plus chaude qu'attendu et on a enlevé quelques épaisseurs par rapport à Ulan-Bataar. D'ailleurs il a neige sur les quelques derniers jours de notre périple dans la région "du haut", tout ces paysages revêtus de blanc étaient superbes. |
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Dans les rues d'Ulan-Bator avec
Athos |
Il a neigé sur Ulan-Bator...! |
Mais revenons un peu en arrière, en
Mongolie, on n’a pas eu trop le temps de raconter et à vrai
dire on a comme un goût de "reviens-y". Malgré les
15 jours qu'on y a passé, on a eu le sentiment d'être passé
à côté de beaucoup de choses (tout l'ouest du pays en
particulier), le parc "naturel" que nous avons fait a une soixantaine
de kilomètres d'Oulan Bator se rapprochait plus d'un immense parc
touristique et on n’a pas eu l'occasion, par manque de temps, de marcher
ou se promener à cheval dans les coins qui le méritaient vraiment...
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Paysage mongol sous la neige |
C'est pas beau ca ?? |
0n avait prévu plusieurs jours pour traverser le désert de Gobi et cela a raccourci d'autant nos possibilités pour explorer ailleurs. Certes les paysages et plaines traversés du nord au sud ont souvent offert des panoramiques superbes mais comme je disais juste au-dessus, ça mérite plus de temps et plus d'exploration. | |
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Bataille de boule de neige avec
Bastien, Lucie et Athos |
Nos fiffes sous la neige |
A Oulan-Bator, on a dû passer une journée à chercher (sans trouver) des amortisseurs adéquats, en parcourant les bazars auto, les garages du centre ville, et ainsi de suite. J'ai fini par les faire réparer par un soudeur, et à partir de morceaux récupérés sur de vieux amortisseurs de bagnole, et ma foi, ça tient bien pour l'instant. | |
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Carte postale... |
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Sur la route vers le parc naturel
de Terelj |
Rapace immense : on en a vu un bon
paquet dans le ciel et sur le bord des routes |
Le désert a été moins difficile que prévu, c'était plus une course d'orientation pour suivre les bonnes pistes à la boussole et à partir de cartes bien imprécises qu'une galère genre Paris-Dakar à se désensabler tous les 15km et de manière générale, les 260km se sont avérés moins éprouvants pour les véhicules que 30 au Kazakhstan. On a eu des couchers de soleil fabuleux, et des horizons dépourvus de tout relief, une vraie ligne droite d'un bout à l'autre, ça parait pas grand chose mais à part au bord de l'océan ou au milieu de la mer, ben j'avais pas le souvenir d'avoir eu devant moi une telle perception de la rondeur de notre chère planète. | |
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Au milieu du désert
de Gobi...seuls au monde ! |
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Coucher de soleil sur le désert
de Gobi |
Gorgée de soleil ! |
Les Mongols ont souvent été
très sympas, curieux et souriants, on retrouve les mêmes alcooliques
un peu bizarres, agressifs ou juste effrayant que partout ailleurs (à
commencer par Toulouse !) mais ça n'a pas entaché la bonne
opinion générale qu'on a pu avoir d'eux. |
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Ah si, niveau conduite, on a commencé à sentir qu'on se trouvait décidément bien loin vers l'est, des vrais cons (ça aussi on en trouve chez nous mais là, c'était vraiment des champions), dangereux, mauvais et fans du klaxon. On s'y fait. |
Des minots au milieu d'un petit
village du désert |
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La tradition veut que chaque "sommet" ou "passe" soit pourvu d'un Ovo (monticule de pierres, tradition animiste) : les mongols y font offrande d'une bonne rasade d'alcool (d'où le monticule de verre a côté...) et y laisse parfois une étoffe/écharpe bleue : ici, en haut d'une petite colline dans le désert de Gobi. | |